Les fleurs de Bach, nous le savons, modifient l’impact de nos émotions sur nos comportements et participent à l’évolution de notre conscience. Dit autrement, elles soulagent les excès de nos tempéraments et calment les effets négatifs que nos emportements ont sur le cours de notre santé. Ces élixirs sont donc des supers régulateurs qui nous apportent calme et sérénité.
Faire l’expérience pratique des Fleurs de Bach nous invite à remettre en question ce qu’on nous apprend classiquement. Mais comment prouver scientifiquement quelque chose qui ne rentre pas dans le cadre de l’orthodoxie scientifiques (nos croyances) ? En tous cas, s’il y a une réalité dans les découvertes du Dr Bach, il faudra inéluctablement changer le filtre à travers lequel nous voyons notre monde, notamment concernant le vrai sens de la vie, il faudra donc reconsidérer la relation entre humains et végétaux. En fait, les végétaux, outre les formes très diverses qu’ils développent et les principes actifs qu’ils contiennent possèdent des qualités énergétiques, une sorte de conscience ou d’esprit que nous avons oublié, avec laquelle nous avons perdu contact contrairement aux peuples indigènes, qui eux, étaient parfaitement conscients de tout ça.
Or, par le phénomène de similitude (deux corps porteurs d’une même vibration rentrent en résonance par sympathie), on peut établir un lien entre le geste de la plante (les caractéristiques de ses racines, tiges, feuilles, fleurs, graines, de son mode de croissance, sa dissémination, son mode de reproduction, son habitat, son adaptation à l’environnement, ses couleurs, ses maladies, etc) et la personnalité des gens. Ne dit-on pas que le semblable attire le semblable ? Le fait est que notre personnalité est modulée par nos excès émotionnels (peurs, colères, doutes, rancunes…), lesquels favorisent des comportements aux conséquences désastreuses pour notre santé (à cause de nos egos suractifs).
L’idée de cette correspondance est difficile à admettre pour les occidentaux à cause de l’empreinte que certaines croyances continuent à avoir sur nous, lesquelles œuvrent à notre insu en désignant par exemple l’humain comme espèce dominante sur la terre en raison de son intelligence, de son habilité et donc de sa prétendue supériorité morale. En thermes théologiques, on pense encore collectivement et majoritairement que seule l’humanité a une âme. Traditionnellement, les autres formes de vie lui étant inférieures, insignifiantes, l’humain peut les dominer, les écraser, les façonner à son image (un peu comme le masculin qui domine le féminin, comme le savoir et le pouvoir prosaïque qui dominent la connaissance intuitive). Du coup, l’homme se sépare de la nature et la détruisant, se sépare de lui-même, se détruit.