L’inspiration du Magnétiseur et du méditant : se relier à cette source (4)

Nous avons vus que le vivant émettait en permanence un certain quota de ces ondes. Arbres, végétaux, roches. Le phénomène concerne également le cerveau, lui-même capable d’utiliser ces ondes en vortex à des milliers de kilomètres. Cette communication subtile ne permettrait-elle pas d’expliquer la télépathie ?

Or, selon notre inspiration, notre éducation, bref les résonances qui nous sont propres, nous pouvons nous saisir de mille possibilités de canaliser et d’harmoniser cette énergie, énergie qui possède d’ailleurs 4 visages interchangeables appelés saveurs : les ondes scalaires vitales (correspondant au corps vital ou «Qi»), émotionnelles, mentales et causales. Dans tous les cas, on dirige alors ici cette lumière scalaire vers soi. Modulée par le rythme de notre cœur, elle s’enroule alors et nous enveloppe de sa présence. Pensons aux asanas du Hatha Yoga, aux mouvements du Tai Chi chuan, du Qi Gong, de la danse qui harmonisent le flux d’énergie des nadis et autres méridiens de la médecine chinoise, les chakras

Il n’est pas vain d’imaginer, à condition d’en maîtriser les caractéristiques, que cette source d’énergie « assimilable » puisse être domestiquée et devenir une fois canalisée un facteur de guérison. L’être humain ne fait-il pas cela naturellement depuis la nuit des temps ? En effet, lorsqu’il se relie à une source émettrice, avec ses deux mains disposées en antenne, ou jointes, le magnétiseur, tout comme son ancêtre, l’homme médecine, le chaman, savent créer sans le savoir un champ d’ondes scalaire. Leur intention guérisseuse potentialise l’énergie scalaire venue du cosmos. Ils la laissent résonner et la dirigent vers leurs patients ou les sujets à guérir, y compris en utilisant divers instruments. De plus, tout objet dont les formes géométriques répondent aux lois des proportions du nombre d’or Phi (1,618), serait aussi un générateur passif de champs de torsion et générerait ce que l’on appelle des ondes de forme (voire zome de Saussenac).

Mille postures auxquelles on pourrait rajouter le chant, les psalmodies, la respiration, les mantras, permettraient donc de s’abreuver de ces ondes, de gaver nos cellules de cette même lumière et donc de renforcer notre conscience. Sans oublier la prière les deux mains jointes, les invocations silencieuses de la méditation faites les bras ouverts, paumes des mains tournées vers le ciel… Ces ondes seraient-elles donc des vecteurs d’information qui alimenteraient nos consciences ?

Malheureusement, lorsqu’une personne tombe malade, que sa santé se dérègle, les communautés scientifiques qui privilégient quasi exclusivement l’aspect biochimique des choses minimisent le plus souvent la prise en compte des facteurs biophysiques voire les tournent par méconnaissance en ridicule. Pourquoi les facultés de médecine en France continuent-elles d’ignorer l’action bénéfique de ces particules surabondantes ?