Les premiers générateurs d’ondes scalaires (5)

Par le passé, quelques savants ont été capables de produire de telles ondes scalaires. Georges Lakhovsky (1869-1942) fut le premier à parler d’oscillations cellulaires et à construire un générateur d’ondes multiples dans le but de produire de nombreuses harmoniques à partir d’une onde porteuse de type électro-magnétique ; chaque patient selon sa condition pouvait absorber, disait-il, les ondes qui lui convenaient. Son appareil était un système de 2 antennes, entre lesquelles le patient était assis. Il traita ainsi toutes sortes de maladies, de la syphilis au cancer, en passant par la lèpre et l’ulcère à l’estomac. Avec des succès évidents.

A la même époque aux Etats-Unis, un ingénieur, Royal Raymond Rife (1888-1971) a mis au point des générateurs d’ondes avec tubes à plasma (un gaz) mis sous tension et générateurs d’une onde porteuse de quelques 3 MHz environ qui pouvaient directement inhiber la croissance de certains micro-organismes (bactéries et virus). Les réglages de la modulation de cette onde première permettaient bel et bien d’inhiber tel virus ou bien telle bactérie… Or les ondes de plasma sont principalement des ondes scalaires ou longitudinales. Rife ne le savait pas, pas plus que son prédécesseur. Dans les années 30, il proposa de traiter avec sa machine et avec l’aide de nombreux médecins, différentes personnes atteintes de cancers. Soutenus par les uns, décriés et combattus par les autres et en particulier par la FDA, Rife dut s’enfuir à l’étranger pour échapper à ses détracteurs et sauver sa vie !

Enfin, Antoine Prioré (1912-1983), qui vécut en France dans les années 40 à 80. Electronicien, autodidacte, sans connaissance théorique, fit fonctionner lui aussi un tube à plasma, de puissance de plus en plus forte, capable de traiter les animaux d’expérience qui lui étaient soumis, puis les patients humains qui venaient le voir. Là encore, provenant d’un plasma sous tension, il s’agissait d’ondes scalaires très efficaces pour soutenir l’immunité (travaux du Pr Pautrizel de Bordeaux) et pour combattre le cancer tant chez la souris que chez l’homme, avec des réserves tenant au protocole de modulation de l’onde choisie. Soumis à la pression des opposants à ses travaux, et malgré de très nombreux succès expérimentaux, le secret du réglage de l’onde scalaire porteuse que produisait son gaz disparut malheureusement avec lui, à sa mort en 1983 (deux questions épineuses résidaient : comment moduler l’onde porteuse et quelle puissance appliquer pour ne pas provoquer de saturation ni de sidération des cellules réceptrices).