Être guérisseur selon ma propre vision


Dans la peau du guérisseur

Selon mon propre ressenti, être guérisseur, c’est accepter de n’être qu’une antenne, qu’un médium. C’est m’abandonner à mes perceptions et témoigner du vivant dans une recherche d’évolution.

Je me laisse donc guider par les êtres de la nature qui m’accompagnent, et deviens, par le cœur, canal de l’intelligence qui les gouverne. Au service du Tout, il me suffit donc de cueillir (accueillir et potentialiser) cette connaissance qui se met concrètement et automatiquement en forme. Des gestes précis en résultent, des sons et autres paroles qui rétablissent l’harmonie en régulant le cours de l’énergie (chakras, systèmes réflexes du corps, correction des déviations, dissolution des énergies perverses). Est alors produit un acte thérapeutique manuel et pulsé qui engage tout mon être. Mon corps entier entre dans une danse subtile et très organisée. Voici comment le plus souvent les blocages de la personne que je reçois arrivent à fondre. Ce soin devient un outil puissant, qui agit en profondeur sur les centres énergétiques, les mémoires émotionnelles…

Qu’est ce qui nécessite d’être transformé ?

Une véritable réparation est donc à l’œuvre. Tout un travail très varié se coordonne, qui peu à peu engage la personne dans une voie de guérison, de transformation. Ainsi, des prises de conscience se révèlent d’elle-mêmes. La personne comprend alors par ses propres moyens qu’elle a réagi aux circonstances de sa vie d’une manière qui n’était pas toujours la plus adéquate au maintien de son équilibre. Sa situation a généré des comportements, des schémas de pensée, des émotions qui l’ont envahie et qui n’étaient pas en phase avec les lois universelles. Le stress, le mal-être, la perte de sens et autres « désaxages » sont ainsi apparus entraînant  maladies et souffrances. Une véritable réparation se met en route. Tout un travail très varié se coordonne alors, qui peu à peu engage la personne dans une voie de guérison, de transformation. Ainsi, les prises de conscience se révèlent d’elle-mêmes. La personne comprend alors par ses propres moyens qu’elle a réagi improprement aux circonstances de sa vie. La manière n’était pas toujours la plus adéquate pour maintenir son équilibre. Sa situation a généré des comportements, des schémas de pensée, des émotions qui l’ont envahi, lesquels n’étaient pas en phase avec les lois universelles. Le stress, le mal-être, la perte de sens et autres « désaxages » sont ainsi apparus entraînant  maladies et souffrances.

raffiner ses vibrations

Le but d’une séance est donc de mettre à disposition mon écoute et d’aider la personne à retrouver son unité, de lui permettre de se connecter à elle-même, de sortir de l’impasse où elle se trouve. Au final, et si elle choisit de changer sa perspective (son libre-arbitre en décide), c’est elle qui va trouver les solutions de sa propre sortie de crise. Être guérisseur, au fond, c’est inviter à restaurer une image de soi aimante, joyeuse, sereine, orientée vers l’aide à autrui. C’est restituer au Maître Intérieur les commandes de pilotage de notre être, guidé en cela par des intentions, des paroles et des agissements en phase avec les lois divines. Aux antipodes de la peur et de la soumission, chacun est donc appelé pour évoluer à raffiner ses propres vibrations.

En ré équilibrant les énergies du corps (c’est la vocation de toute médecines douces), on permet à chacun de retrouver ses capacités d’auto guérison. J’aide donc les gens à reprendre l’initiative, à privilégier le développement de leur immunité naturelle, à regarder à l’intérieur d’eux-même leur propre responsabilité avant de rejeter la cause des désordres de leur vie à l’extérieur, à accepter de s’impliquer dans le processus de leur guérison.

Y a-t-il un don ?

Je dirais plutôt qu’une disposition particulière s’exerce au fil du temps. Ne mettons-nous pas tous à profit des qualités révélées au gré des apprentissages de l’existence ? A chacun le voyage qu’il s’est promis de faire !

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